Maintenant ! CEst Moi Et Le Le Marchant De Légumes (3) :
Le vendredi et le week end suivant, le scénario fut le même et ma femme profita au maximum des capacités sexuelles du black et moi du spectacle par la fenêtre. Et chaque fois, je me masturbais et grâce à la vue du gros zob du black à luvre dans ma femme et à mes vas et viens de mon doigt dans mon cul, jarrivais à bien éjaculer une forte dose de sperme sur le mur de la caravane.
Le lundi, notre hôtesse nous informa que nous sommes tous invités, mercredi, jeudi et vendredi prochains chez sa sur, dans la capitale, pour une grande fête familiale. Nous devons y aller avec la voiture de nos hôtes et nous devons y assister coute que coute. Dautant plus que notre retour au bled était prévu pour le début de la semaine suivante.
Pour ma femme, il fallait se rassasier de plaisirs charnels avec son black durant ces deux jours et il lui restera aussi le denier week end avant le grand départ au bled. Mais pour mes projets personnels, le temps est trop serré. Si je dois gouter le dépucelage et linitiation à la sodomie de ma terma, il faut le faire ce lundi ou le lendemain mardi. Pendant la nuit, jai réfléchis et dressé un plan.
Le lendemain, lundi après-midi, jai espionné et suivi ma femme jusquà son entrée dans la caravane de son amant black. Puis je suis allé vers la caravane du jeune marchant Algerien. Dès que jai cogné la porte, il ma ouvert et toujours torse nu et poilu. Je lui ai dit que javais un message personnel pour lui, dun ami commun. Nous sommes alors entrés et jai pris la chaise et lui sest assis sur son lit.
Il me regardait avec curiosité mais il ne me connaissait pas. Immédiatement, jai attaqué, en arabe. « al mara éli djik koula youm raha émridha hadha ésmana » (la femme qui vient chez toi chaque jour est malade cette semaine). Très étonné, il ma regardé avec encore plus dattention et il ma dit « mnén ta3rafha anta ? » (Comment tu la connais ?).
Alors, très rapidement, sans lui laisser le temps de trop réagir, et sans état dâme, je lui ai avoué notre situation.
Profitant de notre voyage à létranger, jai donné à ma femme sa liberté totale sexuelle et ils en ont profité agréablement tous les deux, durant ces deux semaines. Elle est malade et ne viendra quaprès guérison. Je lai remercié car ma femme a eu beaucoup de plaisir et dorgasmes et surtout de lavoir dépuclé et initié du cul. Presque hébété, il continuait à me regarder sans mot dire.
Je restais silencieux un moment, alors il a repris ses esprits et ma dit « hadhik martak ! wa b3athathali énikha ! mine souatha wa mine termetha ! » (Cétait ta femme ! et tu me lavais envoyé pour la baiser ! de sa chatte et de sa terma !). Jai fais oui de la tête et avec un sourire complice.
Alors, il éclata dun rire sonore et se tapant sur les cuisses, « Hikaya spéciale ! 3ayla spéciale ! » (histoire spéciale ! famille spéciale !). et, complètement décomplexé, il ajouta « martak éskhouna ! mine ésouwatha wa mine termetha » (ta femme est chaude ! de la chatte et du cul !).
Je nétais pas gêné du tout car javais tout accepté depuis le début. Alors je suis passé à ma requête personnelle. « Rani jeitak thani bach édirli emzya ! » (je suis venu te voir pour te demander un service !). Il riait toujours et me dit « bi élemzya ! ya hbibi ! bi élemzya ! » ( avec plaisir mon ami ! avec plaisir !). Et moi « marty farhana ki halaytha mine termet ha bi shoula ! » ( ma femme a été contente car tu lui a ouvert le cul facilement).
Il était surpris mais il me dit doucement « na3am ! ana khabir fi fateh letrem ! » (en effet ! je suis expert pour ouvrir les culs). Alors je lui demande « Ana chahi ethéli teremti bi eshoula ! » ( moi, je désire que tu mouvre ma terma vierge avec facilité ! Il resta bouche bé, alors gagoutais pour le convaincre « wa étchaba3ni neik manha ! kima mrati ! » ( et que tu me rassasie de sodomies ! comme ma femme !).
Il paraissait sonné, mais il se secoua et repris son grand rire « Zébi fi khedmedkoum ! hatli ! hatli teremtek ya hbibi ! » (Mon zob est à votre service ! donnes ! donnes moi ta terma mon ami ! ) et avec un clin dil complice « enike teremek bi zébi lakhchine ! » ( je vais niquer ta terma avec avec mon gros zob ! » et il ajouta avec son gros rire daffamé « wa jibli martak énikoum fi dhouz mine tramkoum ! » (et amènes moi ta femme et je vous niquerais tous les deux par vos terma !).
Il était content et prêt, alors, immédiatement, il ota son pantalon et me montra son zob, que je connaissais et qui était l »gèrement bandé et me dit « chouf zébi ! touil wa khchine ! warini teremtek ! » voici mon zob ! long et gros ! montres moi ton cul !). Prestement, jenlevais mon pantalon et slip et, lui tournant le dos, je lui offrais mon derrière et mon cul. II sexclama « ah ! ya hbibi ! teremtek kbira wa 3aridha ! kima anta3 martak !» (mon ami ! ta terma est grande et large ! comme celle de ta femme !). Je reculais vers lui mon derrière et en me courbant légèrement.
Alors il mempoigna les hanches, puis me caressa et me malaxa les fesses et mis son visage sur le sillon de mon cul et jai senti sa respiration sur mon anus. « zébi ! ch7al teremtek malssa ! bla zakba wahda ! » (zébi ! comme ta terma est lisse ! sans aucun poil !) et, me léchant le sillon et lanus, il ajouta « 3andék terema ekhchina ou emlahma ! kheir mine martak ! » ( tu as une belle terma large et souple mieux que ta femme !) et poussant son doigt dans mon anus « bessah qarek émzaira ! lazem enhélouha bil vazline ! » (mais ton cul est très serré ! on doit louvrir avec laide de la vaseline).
Il se leva pour aller chercher le necessire et moi, en connaisseur, jai pris position sur le lit, poitrine sur les draps et le derrière haut soulevé, les jambes et cuisses largement écartées. Ainsi, joffrais ma belle terma vierge et mon anus sérré avec impatience. En revenant vers moi, il me dit « hé ! jabatha gad gad ! mane 3almak hadha position ? « (hé ! tu est juste ! juste ! mais qui ta appris cette position ?).
Il sagenouilla derrière moi et commença dabord par me lécher le sillon et lanus et essaya de feire entrer un doigt. Cétait difficile, quoique ces lècheries mont fait frissonner du cul. Alors, il me mit de la vaseline dans lanus et même un peu à lintérieur en forçant avec son doigt. Ça me faisait un peu mal mais pas autant quant je faisais mes besoins. Il réussit à faire pénétrer un doigt et commença des vas et viens à lintérieur. Ça devenait très agréable ces frottis dans mon sphincter.
Il mit ensuite deux doigts, avec un peu plus de vaseline et en forçant. Un moment, jai eu une forte douleur sur lanus, mais jai résisté et cest passé, puis il me masturba avec ses doigts lintérieur du cul. A un moment, il me dit « ouja3tak ? » (je te fais mal ?) et moi « non ! zid ! doukhoum ! achtar dakhali zébek ! » (non ! continues ! enfonces les ! dépêche toi de me pénétrer par ton zob !).
Alors, il sarrêta tout en écartant ses deux doigts pour mieux mouvrir lanus. Jai ressenti comme un léger courant dair car mon anus doit être déjà assez ouvert. Ensuite, il posa lourdement son zob tout le long du sillon de mes fesses et le frotta plusieurs fois. Ce fut une sensation nouvelle mais très agréable pour moi car son zob était bien gonflé, lourd et doux à la fois, une grosse masse de chair qui me donnait des frissons. « houk ! houk ! ya sahbi ! zebek ehlou ! » (frotte ! frottes ! mon ami ! ton zeb est si doux !).
Ensuite, il mit son gland entre ses doigts écartés et poussa avec douceur dans mon anus. De mon coté, jai essayé de gonfler au maximum mon derrière pour mieux écarter mes fesses et bien ouvrir mon anus. Au début, ce fut un peu douloureux mais comme je restais stoïque et silencieux. Il continua à pousser et petit à petit son gland traversa mon anus. Cétait certes encore douloureux mais ô combien merveilleux.
Il mempoigna encore mieux les hanches avec ses groses mains et me dit « hahou zebi 7al bab qarek ! dhork nazhaou ! » ( voila mon zob a ouvert la porte de ton cul ! maintenant on va samuser !). Cette pénétration du gland de son zob, je lai ressenti dans tout mon corps avec des frissons de désirs dun tabou interdit balayé. Enfin, je commençais à ressentir et à gouter une nouvelle forme de liberté totale et merveilleusement agréable. Un zob vient de me pénétrer et même si jéprouvais une légère honte, je la goutais avec plaisir, avec jouissance.
Et, rapidement, en poussant toujours avec douceur, tout le gros zob pénétra dans mon sphincter. « khlass hbibi ! haleitlak teremtek ! zebi ag3arlak qarek ! wa glissa dakhel eterma ! » (ça y est mon ami ! je tai ouvert le cul ! mon zob ta défoncé lanus ! et il sest glissé au fond de ta terma !). Quant jai sentis les couilles du jeune homme me chatouiller linternieur de mes cuisses, jai su que le zob était totalement à lintérieur de mon cul.
Enfin, dépucelé avec douceur, jattendais la suite avec impatience. Je lui dis « hbibi ! la3ab zébeb dakhal teremti ! 3aradhli teremti ! zahiha ! ( mon ami ! fais jouer ton zob dans ma terma ! élargis moi la terma ! fais la jouir ! ). Et goutant ma nouvelle liberté sexuelle « Nikni bezzaf bi zebek lekhchine ! 7ata én3ayat bi lfara7 ! wa 3assal eneik elteremti la3ziza ! » ( baises moi fort avec ton gros zob ! pour me faire crier de joie ! et du miel de la sodomie pour ma chère terma !)
Alors, doucement il commença par plusieurs vas et viens. Moi aussi je commençais doucement à métourdir et je me sentais mouvrir de plus en plus. Brusquement, il sortit totalement son zob, ce qui me fit crier « dakhal zébék ! dkhlouli ! » (Enfonces ton zob ! enfonces le moi !). Il mexpliqua « ousbour ! bi chouwya 3ala teremtek ! » (Patience ! doucement pour ta terma !) et encore « enzidou vazline ! enmalssou eterma chouwya ! wane enzidou eneikou ! ousbour ! » ( on vas ajouter de la vaseline ! lubrifier un peu la terma ! et on continuera à baiser ! patience !).
En effet, il me mit encore du fluide et il poussa son zob et miracle, il senfonça presque en vitesse. Jai juste senti ses frottements, dailleurs très agréables, en écartant mon anus et en se glissant tout le long de mon sphincter. Cette pénétration, malgré sa facilité a eu un aspect aussi brutal que la sortie du zob. Et cest cela qui ma donné encore une nouvelle sensation de jouissance, de fantasme.
Enfin, jétais heureux davoir atteint mon objectif en venant me faire sodomiser. Maintenant, je constate que la pénétration dun zob, même brutale, dans ma terma, pouvait me procurer du plaisir, physique et psychique. Cet homme était vraiment un expert de la sodomie et je vais en profiter au maximum. Laissons le, maintenant, prendre son plaisir avec ma terma. Je le lui dis « hbibi ! dir rayak dhorka ! hahi teremti lék ! azha biha wa zahiha ! » ( mon ami ! fais ce que tu veux maintenant ! ma terma est à toi ! jouies avec et fais la jouir !).
Il poussa un autre grand rire et me dis « hadha xactment wach galatli martak ki halayt termetha ! » (cest exactement ce que ma dit ta femme lorsque je lui ai ouvert la terma !). Et oui, on a des points communs, moi et ma femme. Puis il commença ses vas et viens en me tenant fortement par les hanches. De temps à autres, jessayais de remuer du derrière pour mieux sentir le zob dans mes entrailles. Car, maintenant, ces mouvements du zob me procuraient une sorte de plaisir, de frissons et de jouissances. Je sentais que mon cul était bien rempli par ce gros zob mais javais aussi limpression quil se mouillait tout seul. Et mon zob qui se mettait en érection tout seul par devant.
Jai demandé « rah zébek issil fi qari !» mais il mexpliqua « ezeb mazal ma tayarch hlibou ! hadhik raha teremtek étsil mine échahoua ! » ( mon zob na pas encore laché son lait ! cest ta terma qui coules de jouissances !). Et, expert, il ajouta « ki zeb i7ouk eterma ! ta7lalha ! tatlaq e3ssalha ! » (lorsque le zob frotte la terma, elle jouit alors elle libère son miel !).
Et tout en pilonnant mes entrailles par ses puissants coups de reins, il ajouta « eterma etmalass dakhalha ! wa etzid ethabbal zob ! » ( la terma se lubrifie de lintérieur ! elle affole le zob !). Et il me donna quelques coups de zob rageurs comme pour concrétiser ses dires « Hahou zebi yetgonfla akthar wakthar ! » (voila mon zob qui gonfle de plus en plus !). « ya zébi ! ech7al teremtek ehlouwa ! » (ô mon zob ! comme ta terma est douce !). Jétais content et ça ajoutait à mon plaisir.
Ainsi, ma terma exprime son plaisir et cest ce que je voulais savoir. Voila pourquoi ma femme raffolait des sodomies. Cest gagné, moi aussi, je ne pourrais plus me priver de ce plaisir que peut me donner ma terma, dautant plus, selon cet expert, elle est large et lisse donc attirante et bandante. « Nick ya sahbi ! nick 7bibek wa martou ! zebek ekhchine wa hlou zahana fi dhoudj ! » ( baises ô mon ami ! baises ton ami et sa femme ! ton gros zob est doux et nous fait jouir à tous les deux ).
Et après un long moment, il sarcbouta sur mon derrière, agrippa mes hanches, senfonça autant quil peut dans mon cul et éjacula dans mes entrailles. Plusieurs jets chauds et puissants ont bombardé mon fond de cul et mont rempli jusquà déborder de mon anus et suinter sur mes cuisses. Paradoxalement ? cest cette jouissance du zob dans mes entrailles qui ma donné la vrai réalité de ma sodomie.
Alors, je lui ai avoué « ah ya sahbi ! ech7al 7louwa eneika ! wa efraq ezanna fi teremti ! » (ô mon ami ! combien est jouissante cette sodomie ! et le déversement du sperme dans ma terma !).Et encore « zebeb dakhal kamal fi qari ! wa 3ssal qlawyk essgaouli teremti lahbiba ! ma7laha ! ma7lah ! » ( et ton zob qui ma rempli le cul ! et le miel de tes couilles ont arrosé ma chère terma ! cest si bon ! si bon !).
Jétais maintenant réellement sodomisé, engagé dans ma nouvelle liberté sexuelle. Rempli de la semence du mâle et avec un gros zob qui fouillait librement mes entrailles, je ne pouvais pas demander mieux pour un début. Les séances de baises de ma femme que javais observés puis gouté ensuite les premières réactions de mon corps par devant et ma derrière mavaient aidés à me rapprocher de ce jeune homme. Mon dépucelage et mon initiation, sans douleur reelle, ont été une réussite et je suis heureux de mon choix et je nai plus aucun reproche pour ma femme, bien au contraire. Je suis un cocu heureux et un sodomisé enchanté et prêt à recommencer.
Après notre première séance de dépucelage, on sest netoyé au mieux surtout pour évacuer le sperme de ma terma. Ensuite, jai décidé de sucer le zob de mon ami et de le branler un peu quoique il était resté pratiquement gonflé, mais ça me faisait plaisir de tenter aussi cette expérience. Surtout que je faisais cela face à face, mes yeux dans ceux de mon amant et sans sourciller.
Il était mon maitre dominateur et moi son esclave sexuel. « mouss ! moussli zébi ! » (suces ! suces mon zob ! « etlamssou wa 7oukou bi yadék ! » ( tates le et branles le avec tes mains !) et encore, pendant que je le suçais comme jai vu faire ma femme « hiss el qoua enta3ou ! ezeb éli hallek teremtek ! » ( sent sa force ! le zob qui a ouvert ta terma !). Et avec son rire bruyant habituel « ezeb hbib teremtek ! moussou ! gonflih ! » ( le zob amant de ta terma ! suces le ! gonfles le !). Cest toute une nouvelle manière de vivre quil faudrait que je maitrise convenablement pour éviter les excès et les dérapages.
Ensuite, on a reprit notre aventure sexuelle. Et ainsi, pendant plus de trois heures, le jeune homme ma sodomisé, ma donné du plaisir et de la jouissance de toutes les manières. Jai même réussi à éjaculer en me masturbant pendant quil me pilonnait la terma. Dabord, à genoux sur le lit, puis face à face, mes jambes croisées sur son dos et les cuisses largement ouvertes, lui permettant davoir mon anus juste en mire de son zob. « Martak et7ab etnik kima hak dha ! enta thani ! » (ta femme aime baiser comme ça ! toi aussi !). Moi aussi, jai ressenti les plaisirs des poils de sa poitrine sur la mienne et à ce moment, mon assentiment etait total pour ma femme.
Puis, je lui ai demandé de me niquer, assis sur la chaise et moi, enfonçant mon cul sur son zob pointé à la verticale. Je branlais ma terma sur son zob et gémissais de jouissance. Il était étonné et sest exclamé « ya zébi ! ch7al tachti eneik ! » ( zobi ! combien tu aimes la baise !) et encore « achta7 fog zébi ! achta7 ! rani etgonflet ki elborkan ! » ( danses : danses sur mon zob ! je suis gonflé comme un volcan !).
Et il éjacula pour la troisième fois des giclées ressenties par tous les deux différentes des pécedentes car la position assise était spéciale, érotique et cétait moi qui sodomisait ma terma, à ma guise, à mon rythme de plaisir. Jai aussi osé caresser ses fesses poilus et sincèrement, moi limberbe, cela me donnait des frissons et des envies totales de mabandonner à cet homme.
La aussi, au rythme de ses vas et viens je me suis branlé et juste après son éjaculation, jai eu la mienne sur son ventre et sa poitrine, en forçant un peu. Il a rigolé « ya hbibi ! raq tatlaq mine teremtek wa mine zebek ! anta toukhrouj nayak wa maniouk ekbir ! terma wa zob ! » ( mon ami ! tu deverses de ta terma et de ton zob ! tu sera un grand amateur de terma et de zobs!).
Cest vrai ! je commence à constater que javais le feu dans ma terma mais aussi dans mon zob. On verra plus tard ce que cela donnera. Enfin, fatigués et rassasiés, on sest un peu nettoyés et rhabillés. Il ma dit « aroua7 qoudwa fi blaçat martak lamridha ! » ( viens demain à la place de ta femme malade ! » et il ajouta « teremtek hloua ! kheir mine termet martak ! yamkane raha mazalate dhyga 3ala zébi ! ki i7oukha enziid etanane ! » (ta terma est douce ! meilleure que celle de ta femme ! peut-être parce quelle est encore serrée pour mon zob ! quant il la frotte, mon zob se gonfles encore plus !).
Ainsi, je commence déjà à avoir un amateur pour ma terma ! Puis je lai quitté, très heureux davoir réussi le plan que javais élaboré hier soir. Maintenant que je suis dépucelé et initié, je peux mamuser autant que le fait ma femme. Connaissant lheure de son retour, jai un peu marché ans les alentours puis je lai aperçue qui trottait vers la maison. Je lai suivi dix minutes plus tard.
La soirée est passée normale et tous les deux, en parfaits hypocrites, rassasiés de sexe, nous avons joué notre rôle dépoux simple et distants même pendant la nuit. Avant de mendormir, jai élaboré un autre plan pour demain pour rattr ma femme en satisfaction sexuelle. Je vais accrocher ma femme avec notre hôtesse pour laprès-midi, pour achats de linges et de choses à ramener au bled.
Ainsi, elle va rater son rendez-vous avec son black et cest moi qui irait à sa place. je vais servir à son amant black la même excuse que celle qui a réussi avec le marchant Algérien. Ensuite je lui ferais gouter ma jeune terma et on verra si elle pourra accueillir son énorme zob dont je rêvais depuis plusieurs jours. A la guerre comme à la guerre, ma terma vaut bien un petit mensonge.
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